Elyas Keystone Messages : 129
Date d'inscription : 10/07/2014
~Informations~
Âge fictif: 25 ans
Pouvoir: Endurance / Résistance
Lieu de vie: Centre |  Sujet: La confiance se gagne ~  Ven 11 Juil - 14:22 | |
|
CARTE D’IDENTITÉ  |
Nom : KeystonePrénom : ElyasÂge : 25 ansDate de naissance : Un 1er janvierMétier : Commissaire Orientation Sexuelle : Plutôt homo ~ Race : CyborgDescription du pouvoir : Est ce qu'on peut vraiment parler de pouvoir quand on a juste certaines facultés dues au fait qu'on est complètement rafistolé ? Oui, je cours beaucoup plus vite maintenant. Je peux facilement rester une heure sans respirer, et au moins une demi heure sans qu'on puisse entendre un seul battement venant du coeur qu'il me reste ; ce qui est plutôt pratique pour faire le mort. Je résiste aux balles à certains endroits. Et pour finir, le clou, j'ai une prothèse à la place de la main gauche. La plupart du temps, personne ne la voit ; c'est à cause d'elle que je ne porte jamais rien qui n'ait pas de manches. Cette prothèse fait très réaliste, mais dans les cas de force majeure, je mets l'autre, celle qui n'est faite que de bouts de métal et d'armes plus mortelles les unes que les autres, interchangeables à volonté. Nom et provenance : Heiwajima Shizuo De Durarara!
|
Ta tête est à nue
J'avoue que j'ai un caractère très spécial. Je suis très susceptible, borné, assez froid au premier abord, et aux abords d'après aussi. Il faut persévérer pour me connaître, et peu de gens ont assez de patience. Au fond, je peux me montrer très affectueux. Je dis peu de choses sur moi ; sur mon métier, ma ... Petite particularité ... Et surtout sur mon passé. Ma famille. Je fais rarement confiance, mais je pense que quand on l'a gagné, cette confiance, je suis vraiment quelqu'un sur qui on peut compter. Je me défonce pour ceux qui comptent pour moi.
Ton corps est à nu Je suis blond, très grand, je porte très souvent des lunettes de soleil et il est rare de me voir sans cigarette. Je n'abandonne que rarement mon costume, c'est une des obligations de ma fonction, qui ne me déplaît pas. Je suis plutôt musclé ... Taillé comme un flic, quoi. J'ai une démarche assurée, rapide. Bien sur, ce qui se remarque le plus, dans mon physique, sont ces bouts de métal que j'ai partout. On les voit surtout dans mon dos, j'ai des cicatrices en pagaille sur le torse, sur les bras, comme dans le dos, et sur les jambes. Des vestiges de cette effroyable explosion que je porte comme des fardeaux maintenant. La prothèse de mon bras gauche est la plupart du temps très discrète, très réaliste, même si en y regardant de près on voit que ce n'est pas de la peau. L'autre ne l'est pas du tout, ce qui me force à porter des gants parfois.
L'origine de ton existence
En effet, il va falloir remonter aux origines. On peut dire que je suis loin d'être né dans la misère ; je dirais même le contraire. Une grande maison dans le centre, un jardin immense, des parents exceptionnels. Mais l'argent, vous savez, ne fait pas le bonheur ; au contraire, il le précipite dans l'abîme, et avant que je m'en aperçoive, la décadence était en marche.
Mon père était directeur général des forces de polices centrales. Un homme important, aimant, toujours absent. Ma mère m'élevait, ou du moins passait tout son temps à engager des nourrices plus antipathiques les unes que les autres pour le faire. Finalement, après des années de thés incessants avec ses amis, de soirées mondaines stupides, elle décida qu'elle s'ennuyait. Et elle plongea. Drogues douces, puis de plus en plus dures. Elle ne tarda pas à faire une overdose, ce qui ne me fit pas plaisir, mais ne me causa pas de peine non plus. Je ne connaissais pas cette femme. Dés lors cependant, mon père travailla de moins en moins, passant de plus en plus de temps avec moi. Et je l'admirais tellement, qu'à 18 ans à peine, je suis entré dans les forces de police. Mon père m'y avait préparé depuis des années, donc je n'eus aucun mal à gravir un à un les échelons.
C'est là que le bât blesse. à 22 ans, je suis tombé amoureux. D'un homme, ce qui n'était déjà pas très bien accepté par mon père, qui fit des efforts avec lui tout de même. Tellement qu'après de grands débats animés, il le laissa venir chez nous. Tout se passa bien, et rien ne laissait prédire la suite. Au milieu de la nuit, alors que je somnolais, j'ai distinctement entendu sa voix.
- Je t'ai toujours détesté. Et crois moi, personne ne t'aurait jamais aimé, je te rends service.
Puis une énorme explosion. Un kamikaze, qui était avec moi depuis des mois juste pour atteindre mon père. Je me souviens peu de ce qui se passa ensuite ; je me suis réveillé dans un atelier aseptisé, dans les locaux de la police. Je connaissais cet endroit. C'est là qu'on essayait de rafistoler les meilleurs agents, dans le plus grand secret. Je ne sentais plus aucune partie de mon corps, je réussis tout de même à articuler :
- Mon père ...?
L'homme penché au dessus de moi fit non de la tête. ça, ça voulait dire mort. Et moi ... Certainement en pièces détachées.
J'ai mis des semaines à m'en remettre. Et même en tout ce temps, les séquelles psychologiques n'ont pas disparu. Mon caractère a changé, irrémédiablement ; j'ai parfois des absences plus ou moins longues qui me mettent en danger, et je ne suis parfois tout simplement plus capable de bouger pendant quelques minutes. Le prix à payer pour avoir cru que nous vivions dans une cage dorée. Le monde est bien plus cruel que je ne l'avais imaginé, dans ma naïveté. Depuis, j'ai appris, me suis endurci, et j'ai vu tellement de fois la vérité en face qu'il m'est presque impossible de prendre le risque de m'attacher à quelqu'un.
Toi ! Pseudo : Age : Sexe : Comment avez-vous connu le forum ?Remarque(s) ? : Code du règlement : |
|
