On m'a pris en charge de suite mais on n'a pas laisser Nuwan rentrer...
Comment j'allais faire sans lui ?
Ils se sont mit à me faire des examens et sont revenue après une attente interminable.
On m'avait donner de quoi calmer la douleur et sa fonctionner mais j'avais l'horrible impression que ça n'allait pas... Quand les médecins sont rentré j'ai compris.. J'ai vu leur visage triste...
Je me suis mise à pleurer, surement même à crier et peut-être aussi à hurler...
J'ai hurler son nom. Je voulais les bras de Nuwan.
Les médecins on finis par le laisser entrer. Ils ont du me piqué pour calmer ma crisse.
J'étais recroquevillé sur moi même et je pleurais. Je pleurais tout mon corps, tout mon coeur.
Je ne crois pas que les médecins on eu le temps d'expliquer quoi que se soit à Nuwan mais je crois qu'il à compris en me voyant ainsi.
J'avais perdue le bébé. Une fausse couche ou aussi appelé avortement spontané.
Pourquoi ? Pourquoi moi ? J'avais enfin accepter la situation, je m'étais accroché à ce petit être, je m'étais projetais dans un avenir. Un bel avenir. Aujourd'hui je venais de perdre mon seul espoir de redevenir normale.
Aujourd'hui j'ai perdue une partie de moi, une partie de Nuwan.
Aujourd'hui une partie de moi est morte.

Je me suis précipité quand je l'ai entendu hurler.
Très rapidement, je l'ai serré dans mes bras.
J'ai rapidement compris que nous n'aurions pas notre enfant.
J'ai faillit pleuré mais j'ai préféré ne pas le faire pour Haziel.
C'était injuste. On voulait ce bébé ! On l'aimais ! Qui a permis à la vie de nous le retirer ?
Je savais qu'elle en serait encore plus triste que moi.
Elle me trouvait débile à lui parler mais je sais qu'elle aussi le faisais, je l'entendais parfois.
J'ai réfléchit. Peut être que nous n'étions pas encore près pour être parents... je ne savais plus quoi penser. J'étais perdu, triste et en colère.

Je l'ai serré. Fort, très fort et j'ai pleurer jusqu'à épuisement.
J'ai murmuré.

-...Pardon....

Je suis rester contre lui et j'ai fermé les yeux. Je voulais dormir, juste dormir et ne pas me réveiller.
Tomber dans un trou noir sans fin. J'étais encore secouer par ma crise mais je m'en fichais.
Je crois que j'ai fini par m'endormir. Pendant ce temps les médecins on pris Nuwan a part.
Je me suis réveillé et me suis redressé pour mieux les entendre. Ils lui disaient que c'été très fréquents mais que j'étais quand même jeunes.. Que ma santé avait surement beaucoup joué mais que surtout, il ne fallait pas m'abandonner.
Que même si c'était une chose très dure à surmonter il fallait m'accompagner dans tout.
Dans tout ? Mais je n'ai plus rien.
J'ai mis une main sur mon ventre et me suis laisser retomber dans le lit. J'ai fixé la fenêtre.
Non, je n'avais plus rien..On m'a tout pris.
J'ai senti une larme coulé. Nuwan est entré, je n'ai pas bouger.

J'ai bien écouté tout ce que m'ont dit les médecins.
L'abandonner ? La laisser seule ? Ça n'a jamais été une éventualité. Je lui ai promis de toujours rester avec elle quoi qu'il nous arrive, et surtout dans ces moments là.
Je me suis rallongé vers, la prenant contre moi doucement.

- Je t'aime, je t'aime je t'aime, je t'aime, je t'aime.....

J'avais besoin de lui dire, j'avais besoin qu'elle le sache, qu'elle sache que j'étais là pour elle...
J'ai doucement embrassé son front avant de la serrer dans mes bras.

- On était sans doute pas prêt....

Quand il s'est allongé prés de moi en me prenant dans ses bras, il a posé sa main sur la mienne que j'avais posé sur mon ventre. J'ai repenser à la première fois qu'il a fait ca, quand il a lu le papier, quand on a découvert que j'étais enceinte. Mes larmes on coulé. Mais je n'ai rien dit, je n'ai pas bouger. Je fixais le fenêtre en me disant qu'il avait surement raison, que la nature en avait décidé ainsi mais... Mais pourquoi nous ? Je n'ai rien su lui répondre. C'était comme ci j'étais là sans l'être. Mon corps était ici mais mon esprit, lui est partis...

Je l'ai prise un peu plus contre moi, passant ma main qui était sur son ventre dans don dos.
J'ai embrassé son front, encore.

- Haziel.... Haziel, il faut que tu sois forte... il faut que tu restes avec moi... pour moi... Je tiendrais pas si tu pars.

J'avais de plus en plus envie de pleurer.

Je me suis retourner et j'ai caresser sa joue. Je voyais bien qu'il prenait sur lui pour ne pas pleurer. Moi, je pleurais toujours silencieusement. J'au chuchoter.

-......Pardon Nuwan....